Depuis le 11 septembre, de nombreux cas d’apparitions étranges ont été signalées un peu partout en France et plus particulièrement en zone rurale. Peu d’informations circulent à l’heure actuelle sur ce phénomène automnal, si ce n’est que les créatures se déplacent en petits groupes, accompagnés d’animaux à grelots, bruyants et le plus souvent en meute.
Selon le colonel Rémi Phassol, chargé de l’enquête “Il est probable qu’il s’agisse de spécimens d’Homo Chassorus, une espèce ancestrale voire paléolithique que l’on croyait à jamais disparue tant leurs pratiques barbares et cruelles datent d’un autre âge“.
En effet, il semblerait que ces créatures maléfiques et portées sur la tuerie, soient totalement dénuées d’humanité, d’amour et d’empathie. Elles ne sortent pratiquement que le week-end, ne consomment que viande, gibier et alcool. La plupart de ces énigmatiques êtres consanguins sont très âgés et semblent avoir d’énormes difficultés pour se déplacer. L’utilisation de moyens modernes tels que 4×4, quads, smartphones et GPS sont donc mis à profit.
Leur vocabulaire est très limité et se résume à quelques borborygmes, mots, bruits incompréhensibles issus de leur dialecte primaire : “Pitaing cong, cherche… cherche, ha l’enculé ! il nous a échappé, tu m’mettras la p’tite soeur, putain Roger fais gaffe t’as faillis buter Jeannot, prout, hips… pour ne citer que les plus utilisés.
Un groupe spécial d’intervention chargé de réguler l’espèce menaçante avant qu’elle ne prolifère sera mis en place dans les jours à venir. “Ils tuent uniquement par plaisir, détruisent nos bois et passent partout où ça leur chante ! On n’est plus tranquilles du tout avec ces bestiaux là !” s’insurge Raymond, cet ancien instituteur fraîchement installé en campagne près de Figeac dans le Lot.
La chasse à l’Homo Chassorus sera donc permise voire fortement encouragée du 11 septembre à fin février, de façon à réguler voire détruire une fois pour toute cette espèce invasive, nuisible et criminelle.