La tendance végane prend de plus en plus d’ampleur dans le monde et plus particulièrement en France. Les adeptes de ce mode alimentaire font le choix d’une une hygiène de vie saine. La constitution des repas végans exploite la richesse du monde végétal pour garantir un apport nutritionnel – normalement – suffisant.
Virginie Leblanc est devenue végétarienne puis vegan en 2016. Après avoir testé différents régimes et mode alimentaires plus ou moins farfelus et au regard de son amour pour les animaux, elle a finalement opté pour le veganisme. Depuis plusieurs années, ses repas sont constitués principalement de fruits et de légumes, de graines germés, de tofu, de laitages de soja ou de noix ainsi que de crèmes de céréales.
Mais le mois dernier, après une cure de 15 jours uniquement composée de choux : brocolis, choux verts, choux rouges, choux fleurs et choux kale, la jeune femme, le teint blafard et les yeux cernés, écœurée puis nauséeuse a décidé de tout stopper. « Trop c’est trop ! C’est dégueulasse ! ça n’a pas de goût et pas de saveur ! J’en ai marre ! » confie-t-elle à notre journaliste, puis hurle soudainement « J’ai trop envie d’un bon gros pavé de boeuf bien saignant, d’un tartare frais, du boudin et des saucisses ! » avant de s’effondrer en larmes.
Un changement viscéral donc pour la jeune femme qui s’était pourtant fait tatouer le logo « Vegan Society » sur l’épaule. Depuis, virginie milite contre l’abolition de la corrida et a signé l’appel citoyen aux députés contre la proposition de loi présentée par M Aymeric Caron.