Les résultats d’une récente étude du centre médico social de Trappes dans les Yvelines mettent à mal le cliché selon lequel le port de lunettes conditionnerait fortement le désir sexuel de la gente féminine. « Femme à lunettes, femme à quéquettes » n’est en rien révélateur de la vraie nature des femmes myopes, astigmates ou presbytes.
D’après le professeur Mouloud El Prout, éminent chercheur en neurobiologie du comportement sexuel: « Les femmes qui arborent des appareils de correction visuelle sont réputées – à tort – d’être de chaudes lapines, voire de fieffées salopes si vous me permettez le terme. Il n’en est rien. »
Et le savant émérite de s’empresser d’ajouter : « La femme à lunettes cache pourtant bien, sous ses airs de sainte nitouche, cette soif de sexe, mais, à ce jour, nous n’avons rien pu prouver !« .
D’après nos études approfondies en matière d’excitation sexuelle « gesticulo-annalo-pipeau bipolaires et triphasées de synthèse« , rien à ce jour n’autorise pareille affirmation.
Un soulagement donc pour les millions de femmes en France qui, du jour au lendemain sont passées de « suceuses de bites et sacs à foutre » à « femmes normales à vision modérée handicapante »….